La Roche de fond est un poisson abondant des eaux douces européennes qui ressemble à s’y méprendre au Gardon.
C’est un poisson qui se capture facilement au coup, en général en pêchant le Gardon. Il faut donc apprendre à les distinguer, surtout lorsque les réglementations locales sont différentes pour ces poissons.
Description de la Roche de fond, un poisson d’eau douce
Description de la Roche de fond
La Roche de fond (Scardinius erythrophtalmus) est un poisson argenté très répandu dans les eaux douces de nos lacs et rivières. Malgré sa ressemblance avec le Gardon, la Roche de fond se distingue par ses yeux jaunes et sa nageoire dorsale située derrière les nageoires pelviennes. Elle est également connue pour ses nageoires vibrantes de couleur rouge ou orange.
Mode de vie de la Roche de fond : un poisson grégaire pour la pêche
La Roche de fond a un mode de vie grégaire et préfère les mêmes habitats que le Gardon. Elle est largement répandue en Europe, à l’exception des régions les plus septentrionales et méridionales. La plate est un poisson idéal pour la pêche au coup, car elle vit en bancs composés de nombreux individus et colonise les mêmes plans d’eau que les Gardons.
Un poisson recherché par le pêcheur, la Roche de fond est un poisson abondant
Intérêt de la Roche de fond pour les pêcheurs
En tant que poisson pour la pêche au coup, la Roche de fond est très appréciée pour sa capacité à offrir une série de prises, et pour sa réputation en tant qu’excellent vif résistant. Les pêcheurs peuvent ainsi profiter d’une expérience de pêche passionnante et productive en ciblant ces poissons.
La Roche de fond est un Rotengle (Scardinius Erythrophthalmus)
Toutes les informations qui décrivent la Roche de fond sont identiques à celles qui décrivent le Rotengle (Scardinius Erythrophthalmus).
Sources
TOUS LES POISSONS D’EAU DOUCE. Leur pêche et leur gestion.
Par Bernard Breton,Régis Gérard,Tajana Gérard; Editions Jean-paul Gisserot, 1999
Traité pratique de la pêche. Tome I : La pêche en eau douce
Par Michel Duborgel; Editions Morgan, 1965